Suzanne
Bourse
Cadre en résidence
Je suis un entrepreneur à la curiosité insatiable. Je crois que l'avenir est humain. Avant de devenir un entrepreneur international et technologique, j'ai été officier ingénieur dans l'armée de l'air et l'armée de terre. Au cours des 12 derniers mois, j'ai conseillé 100 fondateurs, du pitch à la transaction en passant par la due diligence.
En tant que directeur exécutif, j'ai participé à des tables d'investisseurs du Capital Angel Network (CAN) pour 13 millions de dollars de décisions d'accords de pré-amorçage, d'amorçage et de série A. Le RCA est l'un des cinq groupes d'investisseurs providentiels les plus actifs au Canada. Ses membres comprennent les Centres d'innovation de l'Ontario, Ange Québec Capital, MarsIAF, des investisseurs providentiels et des family offices. Les entreprises du portefeuille du RCA que vous connaissez peut-être sont Rain Stick, Planetary, the Friendlier Company et The Growcer.
Ma mission est de démystifier la collecte de fonds à un stade précoce. Tout au long des cycles d'investissement du RCA, j'ai remarqué des drapeaux rouges récurrents et des oublis évitables qui empêchaient le financement de fondateurs solides ayant des entreprises susceptibles d'être investies. C'est ce qui a inspiré le développement de CANLABS, un programme virtuel pancanadien de préparation aux micro-investissements. Notre cohorte pilote de 2023 était composée de 30 personnes provenant de tout le Canada. Le programme a reçu des critiques élogieuses et des millions de dollars d'investissement de la part des anciens élèves jusqu'à présent.
Avant de diriger le RCA, j'étais PDG de l'Alliance canadienne des technologies avancées. Dans les premiers jours de la pandémie, 200 millions de dollars de demandes d'indemnisation au titre du SRED ont été bloqués lorsque le pays s'est arrêté. Dans le cadre de mes fonctions, j'ai défendu les intérêts des entreprises technologiques canadiennes et j'ai fait pression sur le gouvernement et les politiciens, en commençant par une lettre au Premier ministre et une interview sur BNN Bloomberg. Sept ministres et députés se sont réunis et, trois semaines plus tard, 200 millions de dollars de fonds ont été versés à des entreprises technologiques qui en avaient désespérément besoin.
Mon parcours d'entrepreneur comprend le démarrage d'une entreprise de communication stratégique et d'édition extrêmement rentable à Doha, au Qatar. Après mon retour au pays, j'ai cofondé et levé 5 millions de dollars pour iBIONICS, une entreprise de technologie médicale financée par des fonds propres du Canada et de l'Australie qui développe une interface cerveau/machine. iBIONICS a été reconnue par CB Insights comme un élément perturbateur dans son secteur d'activité.